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Jean-Pierre Lourdeau
La nature de mes peintures s’inscrit dans la limite entre le monde organique du ressenti (Surface visible) et le monde inorganique de l’abstraction (Surface invisible).
Rapport de confrontation ou porosités sensibles entre deux mondes ?
Transcendance des sensibles, l’approche des formes se trouve modifiée par la « duplicité du Voir ». Les émotions du peintre se traduisent en compositions où transpirent les codes et langages des mythes en dehors du consumérisme contemporain.
« L’image n’est pas une copie, une seconde chose, elle est ce qui rend possible la duplicité du Voir (voyant/ visible) » Merleau-Ponty.

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